Who's Who Art Club International

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Artiste Membre

mercredi 1 juillet 2015

Claude Berri

81ème anniversaire de sa naissance

Ce qui me rapproche de Claude Berri :


« Mais si les comédies finissent bien, si les drames finissent mal, la vie, la vraie vie, ignore cette séparation et mélange les joies et les peines avec une cruauté qu'on ne saurait inventer. »

(Extrait)
Ce portrait sera pour


Nathalie Rheims

samedi 21 mars 2015

Johann Sebastian Bach


330ème anniversaire de sa naissance

Ce qui me rapproche de Jean-Sébastien Bach :

« Le but de la musique devrait n'être que la gloire de Dieu et le délassement des âmes.  Si l’on ne tient pas compte de cela, il ne s’agit plus de musique mais de nasillements et beuglements diaboliques. »

« J'ai beaucoup travaillé. Quiconque travaillera comme moi pourra faire ce que j'ai fait. »

J'ai offert ce portrait à :
 
 Patrick Juvet.

Ce qui me rapproche de lui :

"La sincérité vaut mieux que tous les grands serments."

"Un petit geste venu du coeur vaut mille déclarations alambiquées."

"On fait croire à tout le monde que plus on est bavard mieux on communique. Grossière erreur..."

"Les bleus au coeur" - Souvenirs 
 (Extraits)

Nostalgie :



Romantiques pas morts
Se croiser comme deux comètes
Te quitter à bord d'un jet
Je mourrai romantique


Romantiques, pas morts
Aimer Bach et Bob Dylan
Vivre heureux chez les Tziganes
Je mourrai romantique



Nous mourrons d'amour
Et vivrons de colère
Poussés par les vents
Les vents fous de nos chimères
Les vents fous de nos chimères



Romantiques, pas morts
Partir des villes enfumées
Courir dans un champ de blé
Oh ! Sois romantique



Romantiques, pas morts
Le long de tous les rivages
T'offrir un amour sauvage
Oh ! Toi, ma romantique

...


Titre : Romantiques pas morts


Année :
1971

Auteurs compositeurs :
Patrick Juvet

Pochette :
Alain Marouani

Durée :
3 m 31 s

Label :
Barclay

23 septembre 1972

Patrick JUVET
chante "Romantiques pas morts" en s'accompagnant au piano.

Sa  dédicace :


samedi 14 février 2015

Darry Cowl # 09


Cela fait 9 ans que tu nous a quitté et tous les jours, j'ai une pensée pour toi.


J'ai offert ce portrait à


Jacques Balutin

Ils ont dit adieu à Darry Cowl
Pierre Vavasseur | 21 Févr. 2006, 00h00
POUR SE RENDRE au crématorium du Père-Lachaise, il faut grimper patiemment le long d'un chemin pavé où des chats noir et blanc flânent entre les tombes. Hier, deux cents personnes environ s'étaient donné rendez-vous au plus près du ciel pour un dernier adieu à Darry Cowl,
80 ans, emporté mardi dernier par un cancer.
Mourir célèbre n'étant plus, aujourd'hui, gage de grande foule, il faut rendre acte au ministre de la Culture et à bon nombre d'acteurs, jeunes ou moins jeunes, d'avoir effectué cette ultime ascension dans la roue du « Triporteur ».

Dans le courant d'air un peu trop frais du portail à double battant, sa veuve, Rolande, put ainsi se réchauffer à la présence de Danièle Evenou, Jean Reno (qui s'éclipsa discrètement en compagnie d'un garde du corps), Pierre Mondy, Bernard Haller, Jacques Balutin, Bernard Menez, Patrick Chesnais, Daniel Russo, Edouard Baer, François Rollin, Jackie Berroyer et FrancisLalanne, ruban bleu paradis dans les cheveux, un étui de guitare à la main. Mais il ne chanta pas. Tous étaient sincèrement émus, mais de cette émotion de saltimbanque qui fait sourire dans les pires moments. Ce fut le cas de François Rollin. Il parvint à faire rire l'assistance avec une galéjade du disparu. Autre grand équilibriste de l'humour et du drame, Edouard Baer détendit aussi l'atmosphère avec une ou deux anecdotes.

Empêché, Pierre Arditi avait enregistré son message : « Lorsqu'on a passé sa vie à apprendre aux hommes que jouer est la plus belle des actions, la mort n'existe pas. »  C'était, en somme, ce qu'était venue dire l'assistance à Darry : tant qu'à se retrouver sous une coupole, fut-elle celle d'un crématorium, autant y célébrer de purs immortels. On apprenait d'ailleurs que les cendres du comédien et musicien, une fois le cercueil disparu, seraient déposées dans une urne en bois de pin des Landes. Un de ces arbres certes exposés aux tempêtes - qui ne l'est pas ? - mais qui restent verts même en hiver.